Modifié
le 26 avril 2011
Donner
rapidement le moyen de se comprendre à tous les peuples de
la terre
Réinsertion
et Espéranto
CONVOCATION
L’association
Réinsertion et Espéranto a le plaisir de vous
convier à son assemblée
générale,
qui aura lieu à 15h le :
Samedi
7 Mai 2011
A
la Maison
Alternative et Solidaire 50
bis Rue Guillaume
Puy 84000 Avignon
(à
10mn à pied de la gare Avignon-centre)
Ordre
du jour de l’Assemblée
Générale
Rapport
moral
Rapport
financier
Questions
diverses
Élection
des membres du Conseil d'Administration :
les membres désirant présenter leur candidature
peuvent le faire dès
maintenant.
Nous comptons sur votre présence.
Bien
amicalement
Pour
le bureau ,
La
Présidente : Claudie Demongeot
L'adhésion
à l'association est toujours
fixée à 20 €.
Pour
tout renseignement et
pour annoncer votre venue à l’AG veuillez
contacter
Claudie
DEMONGEOT 52 Rue
Anglic Grimoard 84140
MONTFAVET Tel: 04
90 22 17 02 ou 06 68 84 49 80
Courriel :testudeto@gmail.com
………………………………………………………………………………………………………………………
Si vous souhaitez recevoir un
compte-rendu cochez la case ci-après
POUVOIR
Je
soussigné(e)……………………………………………………………………………………………….
ne pouvant participer à
l’assemblée générale,
donne
pouvoir
à
…………………………………………………………
pour me représenter.
Fait pour
valoir ce que de droit.
A
le
Signature
___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Si
vous avez envie d'apprendre l'espéranto, ce qui suit est
pour vous :
Du
nouveau à RÉINSERTION ET ESPÉRANTO.
Nous
vendons le cours d' Espéranto de Stano Marcek "la
méthode direct Internet"
Livre
+CD 26€
Ce
cours est disponible par correspondance : 60€
À
OFFRIR ET À CONSOMMER SANS MODÉRATION !!!!
Nous
serons au congrès à Sète, le
week-end prochain.
PROMOTION
Achat
sur place du livre +CD : 22,50€
Les
photos du livre et du CD sont en pièce jointe.
Pour
toute information, contactez Claudie DEMONGEOT
52
Rue Anglic Grimoard
84140
MONTFAVET
Tél
: 04.90.22.17.02. / 06.68.84.49.80.
testudeto@gmail.com
___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Modifié le 20 Janvier 2008
BONNE
ANNEE 2008
BONAN NOVJARON 2008
L'association
"Réinsertion et Espéranto" vous souhaite une
bonne et heureuse année 2008
Vous pouvez consulter le compte-rendu de
l'assemblée génerale du 17 novembre 2007 ici
Modifié le 4 Octobre 2007
NOUVEAU SITE INTERNET
Un nouveau site internet est en
préparation
Vous pouvez dès maintenant consulter la
toute première
ébauche ici
Modifié le 14 Septembre 2007
ASSEMBLEE GENERALE
L'Assemblée
générale annuelle se tiendra le samedi 17
novembre à Avignon
(et non pas à Montpellier comme annoncé)
elle se tiendra à la Maison alternative
et solidaire 5 rue des teinturiers 84000 AVIGNON (un plan est
consultable ici
)
Modifié
le 10
Février 2007
Stage
d'Espéranto
organisé les 24 et 25 mars 2007
à Montpellier.
Plus d'informations en cliquant
ici
Pour plus de renseignement et/ou pour toute
inscription, veuillez nous contacter soit par courriel
apsike1997@yahoo.fr, soit contacter Mme MRAIHY Zohra par
téléphone au 06 16 46 64 52
Modifié
le 3 mai 2006
Amis
de l’espéranto et internautes du monde entier,
c’est à vous de jouer !
L’association
Réinsertion et Espéranto (RE) dont le
siège est à Montpellier est très
fière de vous annoncer que
depuis quelques jours le site Internet de cette grande ville du sud de
la France est traduit en espéranto. Oui,
vous avez bien lu : en espéranto !
Voici les
coordonnées du site :
www.montpellier.fr et allez voir. Incroyable ! Non ? Quand vous êtes sur le portail
allez en haut et à gauche juste au-dessous du moteur de
recherche. Il y a une série d'abréviations pour
chacune des langues du site. EO, c'est pour l'espéranto.
Chacun sait que Montpellier est particulièrement connue en
Espérantie depuis l’année 1998,
année au cours de laquelle elle accueillit le 83e
Congrès mondial d’espéranto.
Le site Internet de la ville, initialement en français et
partiellement en anglais, vient d’être
complètement refait, avec un nouveau portail, et il a
été traduit dans les langues des six villes
jumelles . C’est RE qui
l’avait proposé, dès 1998, dans le
cadre d’un dossier de partenariat que nous avions remis aux
élus. C’était trois mois
après le Congrès.
Certes, il aura fallu s’armer de patience, mais le
résultat est là. En un clic de souris Montpellier
se présente à vous, en huit langues et en
espéranto. C’est aussi RE qui a assuré
la traduction du site en anglais et en catalan.
Le volume
à traduire atteignait presque vingt mille mots.
Bien qu’étant une association modeste, notre
projet n’en est pas moins grand. Depuis le début
nous essayons de travailler comme des professionnels. Nous avons donc
fait appel à des traducteurs espérantistes,
catalans et anglo-américains. Chaque équipe a
donc traduit vers sa langue maternelle la version espéranto
que nous-mêmes avions réalisée
à Montpellier. Notre travail avait été
auparavant lu et corrigé par André Cherpillod,
membre de l’Académie
d’espéranto, que nous remercions pour ses
précieux conseils. Nos
partenaires traducteurs espérantistes n’avaient
plus qu’à faire de même. Et
c’est ce qu’ils firent en respectant les critères de
qualité tels que définis
dans le contrat qu’ils avaient signé avec nous. Et
ils ont été payés pour faire ce
travail.
Et dans cette affaire, la mairie de Montpellier n’a eu
qu’un seul interlocuteur : l’association
Réinsertion et Espéranto.
Aujourd’hui s’ouvre donc pour nous — et
pour l’espéranto — une nouvelle
époque. Celle de l’ouverture sur le monde de la
traduction et sur le monde tout court. Alors que depuis quelques semaines internacia.tv , la
première télévision en
espéranto, diffuse ses programmes sur
— voilà un autre projet audacieux, qui ne fut sans
doute pas facile à réaliser pour ses concepteurs,
une équipe brésilienne de Sao Paulo —
la Ville de Montpellier, elle, s’affiche à la vue
du monde entier avec un portail Internet multilingue et en particulier
dans la Langue internationale.
Il est indéniable que l’équipe
municipale en ayant accepté de nous faire confiance a aussi
fait un pari : celui d’aider et de reconnaître
notre structure, certes, mais également de mettre
à l’épreuve une technique de traduction
peu connue, une technique utilisant l’espéranto
comme langue pont et que nous avions tant vantée
auprès d’elle. La décision municipale
montre une fois de plus combien cette ville est entreprenante, et, nul
doute que la voie ouverte sera empruntée par
d’autres. Ce qui revient à dire : «
À qui le tour ? Quelle est donc la ville qui va suivre la
voie de l’internationalisation de son portail Internet et qui
saura accorder à l’espéranto la place
qui lui revient alors que la mondialisation des échanges
transforme chaque jour un peu plus le monde en un « village
planétaire ».
Pour le moment, il s’agit de reconnaître ce qui
vient d’être acquis. L’heure est donc aux
félicitations et aux remerciements.
Il
s’agit de témoigner à cette
équipe municipale combien le mouvement
espérantiste salue son geste et son courage.
Nous tous, nous devrions donc la remercier. Nous, parce
qu’elle nous a fait confiance, et vous, qui apprenez cette
nouvelle, parce qu’elle a osé mettre
l’espéranto sur son site Internet.
C’est
pourquoi Réinsertion et Espéranto demande
à l’ensemble du mouvement espérantiste
de jouer le jeu. Nous vous demandons
d’aller sur le site, de le visiter — au passage
vous apprendrez plein de choses sur la ville et sur son histoire
— ce qui vous donnera peut-être envie de venir y
passer quelques jours. Nous
vous demandons d’en parler autour de vous.
Pas seulement maintenant, mais aussi et surtout dans six mois, dans un
an, et de regarder aussi les pages qui sont dans votre langue
maternelle.
Quelques fautes de frappe, voire des erreurs, pourraient vous sauter
aux yeux. Signalez-nous ces fautes, et merci par avance. En ce qui
concerne le message à adresser à la mairie de
Montpellier, il serait opportun qu’il soit à la
fois en espéranto et dans votre langue maternelle.
Pour contacter la mairie de Montpellier :
De l’attitude de chacun, dépendront les futures
décisions que la municipalité prendra, ou ne
prendra pas, quant à l’extension de cette
initiative à d’autres langues. À
l’heure de la construction européenne, il est
permis d’espérer aussi une ouverture de ce portail
dans un premier temps vers les langues de l’Est, et pourquoi
pas vers des langues parlées dans d’autres parties
du monde.
Il faut savoir saluer les initiatives courageuses, et celle-ci en est
une. Vraiment.
Ni denove dankas vin, kaj ne forgesu, ke nur kune ni sukcesos.
Pour l’équipe dirigeante de Réinsertion
et Espéranto, son directeur : Thierry Saladin.
Modifié
le 10 novembre 2005
Pour
la première fois de son histoire Réinsertion et
Espéranto a eu la possibilité de présenter l'aspect
propédeutique de la langue espéranto devant des enseignants mais dans
le cadre d'unbe journée pédagogique.
Il y eut 35 professeurs de collège et des écoles.
Cet événement eut lieu à
l'institiution privée Sancta Maria à
Villeneuve-lès-Avignon, le mercredi 9 novembre 2005. Nous
remercions le chef d'établissement d'avoir bien voulu nous
faire confiance.
Par
ailleurs, comme prévu, Zohra vient de commencer son cours au
Collège de Nîmes, dans le cadre du
foyer-socio-éducatif. Elle a 20
élèves. Elle prépare de plus une
conférence qu'elle fera prochainement à
l'université d'Avignon. La date n'est pas encore
fixée.
Modifié
le 20 octobre 2005
Compte
tenu de la récente parution du rapport François
GRIN, et de son caractère novateur puisque pour la
première fois un rapport officiel demandé par
l'Autorité préconise d'enseigner
l'espéranto dans les écoles
européennes, Réinsertion et Espéranto
a décidé de reprendre son activité de
prospection scolaire, suspendue l'an dernier. Nous ne ciblerons que les
établissements scolaires qui nous avaient fait bon accueil.
C'est avec le rapport François GRIN en main que nous irons
à la renconrtre des chefs d'établissements.
Lien
pour télécharger au format PDF (696 Ko) le
rapport de François GRIN : L’enseignement des
langues étrangères comme politique publique
(septembre 2005) : Rapport
François Grin
Modifié
le 10 septembre 2005
Lettre-circulaire
annuelle n° 9
Karaj
gesamideanoj,
Vous le
savez, Réinsertion et
Espéranto (RE) est une association fonctionnant comme un
centre professionnel, afin de contribuer à diffuser la
connaissance de la langue internationale espéranto en
France. C’est un projet né à
Montpellier en 1997.
Vous savez aussi que face aux difficultés persistantes que
nous avons rencontrées — des
difficultés consécutives à la
résistance de la société en
général vis-à-vis de
l’espéranto —
l’équipe dirigeante avait
décidé l’an dernier de suspendre
l’action vers les écoles et de
privilégier une activité de type commercial plus
à même de pérenniser les emplois
créés.
Nous sommes cependant restés fidèles à
notre projet de base : prouver qu’un centre professionnel
peut fonctionner durablement avec l’espéranto
comme programme. Quant à la composante réinsertion
sociale du projet, le mal que nous nous donnons pour
pérenniser les emplois prouve, s’il en
était besoin, qu’elle reste, elle aussi, une de
nos priorités : maintenir les emplois
créés et, pourquoi pas, en créer
d’autres plus tard si la marge de manœuvre nous est
donnée.
Nous n’en sommes pas là, et pour
l’instant nous privilégions quatre actions :
— L’action vers le grand public,
— Les travaux de traduction,
— Les cours de soutien scolaire,
— La diffusion en Europe de notre slogan, qui est
désormais disponible dans 24 langues.
1) Action vers
le grand public.
Cette action, menée depuis le début du projet en
1997, a continué cette année avec
l’appui de quelques espérantistes qui se sont
mobilisés pour nous inviter dans leur région, ou
dans leur ville, afin de présenter le propos sous forme
d’une conférence. La conférence ne
porte pas sur l’espéranto, mais sur la
communication dans l’Union européenne ; ce qui
n’est pas la même chose. Elle est suivie
d’un débat, et la plupart du temps une demande de
cours d’espéranto est formulée dans la
salle. Cette prestation est alors assurée par le groupe
local. Dans le cas contraire, il fait appel à nous pour
répondre à la demande. Sachez que nous donnons
des cours à Montélimar et à Aubenas.
Dans ces deux villes (situées à 180 km de
Montpellier), il n’y a pas de groupe
d’espéranto et c’est nous,
c’est-à-dire Zohra et Thierry, qui faisons chacun
le déplacement afin d’assurer la prestation
demandée. Nous
sommes un centre professionnel, par conséquent nous
répondons à la demande quelle qu’elle
soit et d’où qu’elle vienne.
En février 2005 est paru le petit guide L’Espéranto
: l’essentiel, auquel le mouvement
espérantiste francophone a fait très bon accueil.
Voilà bien une action 100% RE : un travail de prospection,
un éditeur qui, lui, à la différence
des autres, répond positivement, et voilà une
commande qui est passée.
Un imagier français-espéranto a
déjà été
réalisé et un guide de conversation est en voie
d’achèvement. Pour ceux qui
s’impatienteraient quant à leur sortie, qu'ils
sachent que c’est l’éditeur qui
décide, et pas nous, quant à la date de mise en
vente. Le moment venu, nous annoncerons la commercialisation de chacun
des deux autres petits guides.
2) Travaux de
traduction.
RE disposant désormais d’une expérience
dans la prospection, elle la met aussi à profit pour
démarcher des collectivités territoriales, des
offices de tourisme, afin de leur proposer des traductions diverses :
sites Internet, brochures touristiques, etc. Nous venons de
réaliser un très gros travail de traduction, un
travail rémunéré, dont nous vous
parlerons plus précisément le moment venu,
c’est-à-dire dans quelques semaines.
3) Les cours de
soutien scolaire.
Claudie Demongeot, éducatrice
spécialisée à Nancy dans un centre
pour adolescents, a utilisé l’espéranto
dans sa pratique professionnelle auprès de jeunes en
difficulté psychique comme un moyen de leur redonner
confiance. Depuis son arrivée dans la région,
elle participe activement au sein du bureau de RE à
l’élaboration des nouveaux projets. Son
expérience associée à la
nôtre nous a permis de lancer une action de soutien scolaire
auprès d’adolescents présentant des
difficultés à l’école. Nous
ciblons pour l’instant deux villes : Avignon et
Nîmes.
4) La diffusion
en Europe du slogan, qui est désormais disponible dans 24
langues.
Ce slogan conçu dès le début de 2002
est un grand succès. Petit à petit nous le
diffusons et développons son champ d’application.
Forts du succès également remporté
dans des pays comme l’Italie et l’Allemagne
notamment, nous avons traduit notre slogan en 23 langues. Thierry a
l’intention d’organiser une tournée en
Europe afin de le présenter dans le cadre d’une
conférence sur le thème suivant : Kion la
esperantistoj devus fari en la tempo de la Eŭropa konstruo ? Cette
conférence peut évidemment être faite
aussi en France sur simple demande.
Vous pouvez
donc continuer à nous aider :
En adhérant et en nous soutenant
financièrement par l’envoi
de dons. La trésorerie de RE est gérée
au plus près, sachez-le bien, et nous commençons
à gagner de l’argent.
En faisant
appel à nous pour toute prestation
susceptible d’entrer dans les compétences
décrites, et si cela peut aussi aider votre groupe local.
Nous vous rappelons que tout don (montant libre) ou cotisation (montant
de 20 euros) à RE donne droit à une
réduction fiscale de 60%.
Nous restons à la disposition de celles et ceux qui
souhaiteraient en savoir plus sur notre bilan. Pour en
débattre avec nous, mais aussi pour faire entendre votre
voix, sachez que notre assemblée
générale annuelle aura lieu le samedi 19 novembre
2005 à 14 heures au siège social de
l’association (à 300 mètres de la gare
SNCF).
Nur kune ni sukcesos. Ce n’est qu’ensemble que nous
réussirons.
À Montpellier, le 10 septembre 2005.
Josette Guardia, présidente
Jean-Michel Parisot-Delourmel,
vice-président
Patrice Brandy, trésorier
Claudie Demongeot, secrétaire
Thierry Saladin, directeur
Modifié
le 20 mars 2005
Réinsertion et
Espéranto (APSIKE 1997) communique :
Son grand projet d’autocollants progresse. Ce projet,
conçu d’emblée pour être
diffusé à l’échelle
européenne, consiste à coller sur sa voiture* le
message suivant :
L’EUROPE A
UNE MONNAIE UNIQUE, L’EURO
IL LUI FAUT UNE LANGUE COMMUNE, L’ESPÉRANTO
Il faut bien avoir
à l’esprit que ce slogan n’est pas le
fruit du hasard. Bien au contraire, il découle de
l’expérience acquise sur le terrain par RE et d'un
travail consécutif de réflexion que toute
l’équipe dirigeante de l’association
mena, de nombreux mois durant, au cours de l’année
2002, dans le but de faciliter la prise de conscience chez le grand
public de la nécessité d’une langue
commune en Europe. Une langue commune et pas unique. Ce slogan a aussi
l’avantage de mettre l’un à
côté de l’autre les mots langue commune et le
mot espéranto.
Rappelons ici une nouvelle fois — et les faits sont têtus
— que plus de
70% des jeunes jusqu’à trente ans ne savent pas
que l’espéranto est une langue.
Cette information et son corollaire, une prise de conscience de la
question linguistique, chez les jeunes et leurs
aînés sera sans doute le préalable
indispensable à ce que nous
devrions tous souhaiter : l’émergence
d’un groupe de pression. Un groupe de
pression sensibilisé aux enjeux linguistiques,
s’appuyant sur une assise populaire d’une
importance telle que les hommes politiques européens ne
pourraient plus ignorer l’opportunité
d’une langue commune européenne.
Dans cet esprit, et parce que ce slogan est déjà
traduit et diffusé dans les pays de la zone euro :(anglais, allemand, espagnol,
finnois, italien et néerlandais),
il sera
désormais disponible dans les langues suivantes :
catalan,
croate, estonien, flamand, grec, hongrois, letton, lituanien, polonais,
portugais, roumain, slovaque, slovène et tchèque.
D’autres
versions sont actuellement en préparation.(alsacien, basque, bulgare, danois,
norvégien, occitan, suédois…
Pour les congressistes de Boulogne, cet autocollant (en
français) sera en vente au libro-servo de SAT-Amikaro. En ce
qui concerne les autres versions, veuillez contacter Claudie DEMONGEOT
(KN 401).
* Il existe
également des versions magnétiques.
NOUS
CONTACTER
Modifié
le 28
février 2005
Réinsertion
et Espéranto (APSIKE 1997) vous informe que dans les librairies, les
supermarchés et les stations d’essence des
autoroutes se trouvera désormais, parmi tous les petits
guides édités par AEDIS,
l’Espéranto :
l’essentiel.(numéro 169)
Ce petit guide
de huit pages, à la
présentation attirante, est le premier d’une
série de quatre. Il sera en vente au prix de 3,05 euros. Il
a été réalisé par Zohra
MRAIHY et Thierry SALADIN.
Le deuxième petit guide (conversation),
déjà réalisé, devrait
être sous presse dans quelques semaines.
Pour ce qui concerne les guides suivants,
l’éditeur se décidera en fonction du
chiffre des ventes des deux premiers petits guides.
Nous espérons donc que le public lui fera bon accueil et
surtout que les espérantistes sauront non seulement
l’acquérir mais également
s’en servir pour la propagande et en faire la
publicité.
En tant
qu’auteur, Réinsertion et Espéranto
propose aux responsables des services de libraire, et pour une commande
minimale de 20 exemplaires, le petit guide à un prix
préférentiel.
Il est rappelé ici que le prix public à
l’unité est bien de 3, 05 euros TTC et
qu’en aucun cas il ne faudra vendre ce petit guide
à l‘unité au-dessous de ce prix
plancher.
Cependant, en cas d’achat par quantité,
Réinsertion et Espéranto peut vous proposer les
tarifs suivants :
Paquet de 20 : 2,85 euros l’unité, soit 57 euros +
frais d’envoi.
Paquet de 50 : 2,60 euros l’unité, soit 130 euros
+ frais d’envoi.
Paquet de 100 : 2,00 euros l’unité, soit 200 euros
+ frais d’envoi.
Les frais d’envoi seront en sus,
c’est-à-dire 5 % du montant total de la commande
avec un minimum de 6 euros.
CONDITIONS
SPÉCIALES « CONGRÈS DE
BOULOGNE-SUR-MER » :
Pour toute commande par quantité, survenue et
réglée à Réinsertion et
Espéranto avant le congrès, il y aura franco de
port car la livraison s’effectuera sur place pendant le
congrès. Contacter pour la livraison Claudie DEMONGEOT :
Kongres-numero : 401
Pour les achats à l’unité,
prière de se diriger vers les services de librairie du
Congrès.
NOUS
CONTACTER
Modifié
le 18 janvier 2005
À
Nîmes, depuis quelques semaines, Zohra, salariée
de l'association Réinsertion et Espéranto, anime
des conférences au PIM'S.(Organisme
généraliste d'accès à
l'emploi pour jeunes diplômés).
En
présence de l'organisatrice, Zohra tient le propos suivant:
"L'espéranto, langue démocratique". Ces
conférences ont eu lieu le 10 janvier 2005 devant huit
personnes, puis le 17 janvier devant 9 personnes.
Une
nouvelle conférence est prévue pour le 14
février 2005.
À
l'issue des exposés, les questions nombreuses montrent bien
l'intérêt chez ce public d'obtenir des
informations sur la Langue Internationale.
Par
ailleurs, les suites logiques de la conférence qui fut tenue
à Aubenas en novembre 2004, sont l'ouverture d'un cours dans
cette ville. Depuis le 8 janvier 2005, Thierry anime un stage de six
heures, un samedi sur deux.
Les
élèves au nombre de cinq se trouvent par
conséquent en immersion linguistique avec
l'espéranto. Cette formule, déjà
éprouvée à Montpellier est
également en usage à Montélimar.
Modifié
le 26 novembre 2004
Une
nouvelle conférence vient d'avoir lieu à Aubenas
(Ardèche). À l'invitation du MRAP (Mouvement
contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples) de
cette ville, Thierry Saladin est allé présenter
les enjeux linguistiques de la construction européenne.
L'exposé suivi d'un débat a réuni une
quinzaine de personnes dont la moitié se sont
déclaré intéressées par
l'apprentissage de la langue espéranto. Par ailleurs, Zohra
continue courageusement à aller un samedi sur deux
à Montélimar pour dispenser pendant six heures un
enseignement de la langue à des élèves
de niveaux différents. Ses qualités d'enseignante
depuis longtemps reconnues par RE, semblent
appréciées également des
élèves puisqu'à leur demande les cours
vont passer en janvier d'un rythme bimensuel à un rythme
hebdomadaire.
Modifié
le 12 novembre 2004
Voici
les toutes dernières nouvelles de notre association, et en
premier les nouvelles coordonnées du Site Internet:
http
://apsike1997.free.fr
Ainsi,
vous ne devriez plus avoir de publicité, et vous aurez une
lecture plein écran.
Ensuite,
nous vous proposons de prendre conaissance de la lettre circulaire que
nous avons adressée par courrier postal aux membres et aux
donateurs de l'association.
Lettre-circulaire
annuelle n°8
Comprendre est le commencement d’approuver.
Spinoza
Karaj gesamideanoj,
Réinsertion
et Espéranto (R.E.) s’est donné pour
mission d’informer le grand public sur
l’espéranto, avec une priorité : les
jeunes. C’est son grand projet.
Nous, les créateurs de l’association en 1997,
avions jugé opportun de transmettre cette information sur
l’existence de la langue et les valeurs qu’elle
véhicule. Fort logiquement, nous avons
privilégié le cadre scolaire. Sans
relâche, depuis septembre de cette
année-là, nous avons arpenté la
région pour obtenir la permission d’intervenir au
sein des établissements scolaires (collèges et
lycées). Dans le même temps, nous avons
essayé d’informer le corps des instituteurs sur la
propédeutique de l’espéranto. Au fil du temps nous avons acquis une
compétence et obtenu des résultats.
Que ce soit sous la forme d’interventions dans les classes en
présence des professeurs, ou plus rarement sous forme de
stands dans les établissements, plus de onze mille
élèves ont reçu une information sur la
langue espéranto dans le Languedoc-Roussillon.
C’est notre bilan, et nous vous le présentons, non
sans une certaine fierté. Pour plus de détails,
vous pouvez consulter la page: l'espéranto
dans les écoles
Mais pour positif qu’il soit, ce résultat se paie
très cher. En effet, notre projet
souffre d’une chose, une seule, mais elle est de taille : le
manque de reconnaissance. Si
on met à part les espérantistes
— vous, Madame, Monsieur, qui avez cette lettre entre les
mains, et qui à
titre personnel nous avez soutenus
dès le début — tout se passe comme si
Réinsertion et Espéranto agissait dans le plus
grand anonymat. L’intérêt de
l’action menée a-t-il été
bien perçu ? Un projet de cette
envergure avec un budget de plus de 60000 euros par an ne
mérite-t-il pas un peu plus de considération ?
Certes, nous nous opposons d’une certaine façon
aux idées dominantes, mais tout de même…
Chaque année, tout est à refaire : nous
contactons les chefs d’établissements scolaires et
ils persistent — quand ils daignent nous répondre
— à nous refuser l’accès de
leur établissement dans une proportion de 95%. Et que dire
des édiles de la région? On en arrive
à se demander s’ils se sont vraiment
penchés sur les différents projets que nous leur
avons proposés. Pendant que certains persistent à
ne pas nous recevoir, d’autres nous laissent miroiter une
décision favorable. Mais les années passent et
rien n’arrive. Rien.
Nous pourrions continuer ainsi : persister, encore et toujours. Mais
jusqu’à quand, et pourquoi dans de telles
conditions ? Nous avons bien réfléchi. Dans les
circonstances présentes, il nous paraît plus sage
de suspendre cette action de prospection, qu’elle soit en
milieu scolaire ou pas, et ce, pour trois raisons :
Un :
Il faut préserver l’équilibre des deux
personnes qui courageusement ont osé, elles, exercer cette
activité, et à plein temps, SVP ! Il
n’est jamais bon de toujours laisser les mêmes agir
: ils s’épuisent et peu à peu
« se grillent » aux yeux de leurs interlocuteurs.
Zohra et Thierry exerçant cette activité de
prospection respectivement depuis trois et sept ans, il est plus que
temps qu’ils passent la main.
Deux
: Il faut pérenniser leur emploi. C’est,
hélas, la triste vérité : les deux
emplois créés sont condamnés si nous
ne trouvons pas un moyen de rendre viable le projet. Et celui-ci pour
le moment n’est pas rentable. Dans notre bilan il y a aussi
une trésorerie — elle est encore largement
positive — mais elle n’assurera pas le financement
des deux salaires au-delà de 2008. Il va donc falloir
changer de cap.
Trois
: Comme nous restons convaincus que cette action envers les jeunes est
opportune, nous lançons un appel. Il serait
étonnant qu’il n’y ait pas en France une
personne désireuse de relayer cette action de prospection,
même dans sa région. Dans ce cas, nous serions
prêts à collaborer avec elle et à lui
faire profiter de notre savoir-faire. Cela permettrait non seulement un
apport de sang neuf, mais aussi un surcroît de
crédit pour l’association et pour le projet : donc
pour l’espéranto en France. C’est
d’ailleurs ce qui se passe déjà avec un
espérantiste de la Drôme qui depuis quelques mois
s’est attelé courageusement à cette
tâche : il organise des conférences dans sa
région et fait ensuite appel à nous pour que nous
fassions l’exposé. À la suite de la
conférence de décembre 2003 qu’il avait
mise sur pied, un cours a été ouvert à
la médiathèque de Montélimar et
c’est R.E. qui l’a assuré. Deux
conférences ont déjà eu lieu au mois
de septembre 2004 dans la Drôme et un nouvel enseignement
vient de débuter à Montélimar, mais
avec deux niveaux de cours cette année. Nous sommes
déjà sollicités pour une autre
conférence en Ardèche pour la fin
novembre… Sachez aussi que nos compétences sont
multiples : prospection, enseignement (Zohra et Thierry ont la
Kapableco, option pédagogie), conférences,
traductions, etc.
Vous
l’avez compris, l’association
Réinsertion et Espéranto va continuer. Nous
allons simplement poursuivre notre action, mais autrement,
et c’est bien dans le même esprit que celui qui
prévalait les années
précédentes que nous avons
rédigé cette lettre: vous rendre compte.
Parce que vous avez montré jusqu’à
présent un intérêt pour le projet, et
parce que vous nous avez aidés, il était juste
que nous vous parlions, franchement.
Vous savez maintenant ce que nous allons faire :
1) nous adapter pour sauver deux emplois et tout faire pour y parvenir,
2) faire en sorte que les nouveaux projets restent parfaitement
compatibles,
— avec une association régie selon la loi de 1901
poursuivant un but non lucratif,
— avec l’objet social de Réinsertion et
Espéranto.
Si vous voulez continuer à nous aider, vos dons seront
toujours les bienvenus. Nous vous rappelons que le montant du don est
libre mais que la cotisation est de 16 euros. L’un et
l’autre donnent droit à une réduction
fiscale de 60% puisque le caractère philanthropique de
l’objet social de R.E. est reconnu par
l’administration fiscale.
Nous restons à la disposition de celles et ceux qui
souhaiteraient en savoir plus sur notre bilan ou qui voudraient
à leur tour s’engager dans la voie de
l’information auprès des jeunes. Nous vous le
répétons, nous avons acquis une
compétence et il serait fort dommage qu’elle ne
puisse pas servir à d’autres.
Pour en débattre avec nous, mais aussi pour faire entendre
votre voix, sachez que notre
Assemblée Générale annuelle aura lieu
le samedi 15 janvier 2005, à 14 heures, au siège
de l’association, 26, rue Enclos-Fermaud (à
300 mètres de la gare SNCF de Montpellier).
Kaj ĉefe ne forgesu, ke nur kune ni sukcesos. Et surtout
n’oubliez pas que nous ne réussirons
qu’ensemble.
À Montpellier, le 10 octobre 2004
Josette Guardia, Présidente, Jean-Michel Parisot-Delourmel,
Vice-PrésidentPatrice Brandy, Trésorier, Claudie
Demongeot, Secrétaire et Thierry Saladin, Directeur
PS : Avez-vous bien
noté notre nouvelle adresse et notre nouveau
numéro de téléphone ?
Modifié
le 10 octobre 2004
Réinsertion
et Espéranto vient d'effectuer deux conférences
à Bourg-les-Valence et à Montélimar.
À l'issue de ces deux interventions un nouveau cours vient
de débuter à Montélimar. Il y a deux
niveaux. Ces cours se déroulent le samedi à
certaines dates et on peut s'inscrire au choix pour la
journée ou pour une formule d'abonnement. Les dates
déjà retenues sont: les 9 et 16 octobre puis les
6, 13 et 27 novembre et le 11 décembre 2004. Les cours ont
lieu le matin pour les débutants et l'après-midi
pour ceux qui veulent se perfectionner.
Pour tous renseignements et inscriptions: 04.67.91.01.96.
Une
conférence est prévue à Aubenas
(Ardèche) le jeudi 25 novembre 2004. elle sera
organisée par le MRAP.
(Pour tous renseignements sur les conférences: cliquer sur
le lien
conférences
Modifié
le 15 juillet 2004
Voici les
résultats de la liste Europe
Démocratie Espéranto:
Ile-de-France
5789
voix soit 0,21%
Nord-Ouest
768 voix
soit 0,03%
Sud-Ouest
3687 voix
soit 0,15%
Sud-Est
2559 voix
soit 0,09%
Massif
central-Centre 2174 voix soit 0,15%
Est
5336
voix soit
0,24%
Ouest
4926
voix
soit 0,19%
soit 25239 voix
Obtenir
un tel résultat quand on n'est qu'une petite liste,
sans moyens et que le jour du scrutin le taux d'abstention est de 57,5
%, il fallait le faire. Vraiment.
Modifié
le 15 avril 2004
Savez-vous que les
élections européennes auront lieu le 13 juin 2004?
Bien
sûr que oui.
Mais, est-ce que vous savez que des
candidats défendront devant les électeurs
l'intérêt de l'espéranto
dans le cadre d'un grand projet européen?
Ah bon?
C'est
comme je vous le dis. Et savez-vous que ces candidats sont des citoyens
de base, des gens comme vous et moi?
Non! Je n'arrive pas
à le croire.
Si, si. Et savez-vous que leur mouvement
s'appelle Europe Démocratie Espéranto?
Incroyable!
Et en plus, ces gens-là ont un
programme!
On croit rêver!
Et comment fait-on pour connaître leur programme?
C'est
très simple. On clique sur le lien
élections
européennes
Décidément,
il ne
faut plus s'étonner de rien.
L'EUROPE POUR
S'ENTENDRE,
L'ESPÉRANTO POUR SE COMPRENDRE.
Modifié
le 29 mars 2004
L'espéranto
au programme d'un
collège de Nîmes durant toute une
semaine banalisée: Qui l'eut cru?
Durant
la semaine du 29 mars au 2 avril 2004, Zohra, la salariée,
va assurer une permanence au collège "Les Oliviers" de
Nîmes. En effet, au cours de cette semaine dite semaine
banalisée les programmes scolaires sont modifiés
dans le but de faire découvrir des choses nouvelles aux
élèves. À la suite d'une proposition
de Zohra qui enseigne l'espéranto dans ce collège
depuis quatre années scolaires, Madame la
principale-adjointe du collège a accepté que les
élèves devant aller en permanence soient
dirigés vers un atelier d'espéranto. Nous
rappelons que chaque lundi, notre association organise un cours
d'espéranto dans le cadre du foyer socio-éducatif
de ce collège.
Par
ailleurs, nous avons une autre action qui vient de débuter
à Montpellier. Il s'agit d'une utilisation de
l'espéranto dans le cadre de la SEGPA du Collège
de La Croix d'Argent. À la suite d'une
présentation faite en février 2004 sur la
propédeutique de l'espéranto tant en direction de
la langue maternelle que pour l'éveil aux langues
étrangères, le directeur de la SEGPA nous a
permis de participer activement dans une classe de sixième.
Le contrat est le suivant: Jusqu'à la fin de
l'année scolaire, Zohra avec l'accord d'un enseignant
volontaire essaiera de faire jouer les élèves de
sa classe avec l'espéranto. Nous espèrons bien
lui montrer que l'espéranto peut aider certains de ses
élèves en difficulté à
mieux comprendre la grammaire française.
Une
évaluation aura lieu au décours de cette
expérience. Si elle se révélait
positive, elle pourrait déboucher sur un projet
dès la rentrée scolaire prochaine.
Pour
avoir une idée de l'action que nous exercons depuis sept ans
en milieu scolaire, cliquez sur le lien
l'espéranto dans
les écoles
Modifié le
19décembre 2003
Imaginez
un congrès politique avec plus de quatre cents personnes.
Imaginez la salle nécessaire pour accueillir un tel
congrès avec, à la tribune, quelques
ténors de la politique italienne.
Imaginez qu’il y ait à cette tribune Emma Bonino
en personne. Je rappelle qu’elle fut Commissaire
européen pour la pêche dans la Commission
dirigée par Jacques Santer, le successeur de Jacques Delors,
et qu’à plusieurs reprises cette femme courageuse
osa plaider pour l’espéranto.
Imaginez devant cette tribune une banderole de couleur bleu azur,
longue de plus de huit mètres, avec au centre, trois mots
écrits en grandes lettres jaunes : EŬROPA RADIKALA KUNVENO,
et sur le côté, leur traduction en cinq langues
(allemand, anglais, espagnol, français et italien) mais en
lettres blanches et en plus petit.
Imaginez des cabines d’interprétation pour que les
propos, tenus la plupart du temps en italien, soient traduits dans les
cinq langues et en espéranto.
Imaginez que les responsables politiques qui se sont
succédé aient évoqué leur
vision de l’Europe, c’est-à-dire un
fédéralisme européen, et
qu’ils aient chaque fois insisté sur le principe
d’une langue européenne
fédératrice, et qu’ils aient
cité l’espéranto.
Imaginez que parmi les résolutions prises lors de ce
congrès, il ait été
décidé de favoriser la création
d’un Comité expérimental
destiné à étudier la valeur
pédagogique de l’espéranto en tant que
langue pont européenne.
Imaginez que Letizia Moratti, la ministre italienne de
l’Éducation nationale se soit engagée
quelques semaines auparavant à soutenir cette initiative
auprès de ses homologues européens.
Est-ce que vraiment vous rêvez ? Eh bien, non. Vous ne
rêvez pas. C’est exactement ce qui s’est
passé à Bruxelles les 7 et 8 décembre
2003.
En tant qu’espérantiste je fus invité
avec d’autres à me rendre à ce
congrès puisque le principe de créer ce
comité avait été annoncé
quelques jours plus tôt. Et j’ai vu. J’ai
vu des responsables politiques italiens qui ressemblent bien aux
nôtres. Je les ai entendus tenir des propos politiques
parfois sévères à
l’égard de la France. Cette France qui nous est
chère et qui est perçue par les Transalpins comme
un peu trop arrogante, un peu trop donneuse de leçons, un
peu trop désireuse d’imposer ses vues. Je
n’ai pas toujours été
d’accord avec ce qui était dit : faut-il vraiment
une Europe fédérale? Certains
l’affirment. J’ai sans doute encore besoin de temps
pour trancher entre fédération et
confédération. Mais ce qui m’est apparu
patent et nécessaire c’est bien la
nécessité d’une langue neutre pour
communiquer, pour échanger et pour nous entendre, nous les
Européens. Tous les Européens. Le point de vue
des Italiens m’a paru intéressant à
connaître. Mais qu’en est-il de celui des
Finlandais, des Grecs et des autres ?
Nous tous, citoyens et responsables politiques, nous avons besoin de
nous écouter et de nous entendre. Le ciment de
l’identité commune européenne ce ne
sera pas l’euro, évidemment. C’est
pourtant ce qu’on a essayé de nous faire croire.
Seule une langue européenne et neutre permettra de
fédérer les esprits pour dynamiser les
énergies. Y a-t-il un autre candidat à ce poste
que l’espéranto ?
L’euro est un fait, certes, mais c’est une
commodité. Sans plus. Si cette monnaie est
refusée par certains pays européens,
c’est bien la preuve que nos responsables ou bien se sont
trompés ou bien nous ont trompés.
Bien sûr ce n’est pas l’euro
qu’il faut combattre mais tout ce qui est
derrière; cette Europe ultra-libérale, cette
pensée unique de la loi du marché, cette vision
selon laquelle il n’y aurait que
l’économique qui compte et qu’on ne
pourrait rien faire d’autre. Et l’homme dans tout
cela ?
Ce n’est que tous ensemble, nous les citoyens
européens, que nous pourrons nous redonner ce pouvoir
politique qui est pourtant le nôtre et que nous avons
abandonné. Seule une langue internationale et neutre
permettra un échange entre les citoyens, un
échange sur des bases égalitaires, afin
d’obtenir que nos responsables adoptent une autre politique.
Il est bon que des hommes politiques italiens aient pris de
l’avance sur les responsables français.
Sommes-nous vraiment encore le phare de l’humanité
comme on nous le répète parfois? Pourtant en
France aussi cela bouge, mais c’est plutôt du
côté de la base, c’est-à-dire
du côté des citoyens et du
côté de l’espéranto. Enfin !
Dr
Thierry Saladin
Modifié le 15
décembre 2003
Thierry
Saladin, directeur de l'association, vient d'effectuer une
tournée en Belgique flamande. Il a été
reçu par des groupes espérantistes
néerlandophones et leur a proposé l'autocollant
en néerlandais. Ce dernier a été
acheté par dizaines et est maintenant vendu par des groupes
locaux (Gand, Anvers et Peer).
Par
ailleurs, le samedi 13 décembre 2003, il a fait une
conférence à Montélimar. Cette
dernière, organisée par deux
espérantistes de la Drôme, a réuni
quelques 22 personnes sur le thème: L'Union
Européenne et les langues: une solution,
l'espéranto.
En outre, cette conférence s'est tenue à la
médiathèque en coordination avec la responsable
des animations culturelles. Pour plus de précisions sur le
contenu de la conférence, veuillez cliquer sur le lien
conférences
Modifié le 21
octobre 2003
L'autocollant
porteur du message suivant se vend toujours très bien.
"L’Europe a une
monnaie unique,
l’euro
Il lui faut une langue commune, l’espéranto"
Disponible
désormais en sept langues (les langues des pays
de la zone euro), il vient de faire une entrée fracassante
en Allemagne. En effet, l'association espérantiste du
Bade-Württemberg vient d'en acquérir 200 (deux
cents) pour son propre compte lors d'un stage organisé
à Oberkirch. (à 30 km à l'est de
Strasbourg).
Les
automobilistes allemands vont donc à leur tour prendre
conscience que l'Union Européenne a besoin d'une langue
commune et que celle-ci ne peut être qu'une langue neutre,
c'est-à-dire l'espéranto. Il est
rappelé que le principe de cet autocollant est de le coller
sur son véhicule afin d'être visible lors des
embouteillages par les automobilistes d'à
côté ou de derrière. A ce propos, nous
signalons que l'effet est majeur lorsque l'adhésif est
collé sur les portières. En effet, aux feux de
signalisation, les automobilistes à l'arrêt
tournent la tête et le voient.
Thierry
Saladin doit se rendre prochainement en Espagne, en Italie et aux
Pays-Bas pour proposer l'autocollant dans les langues
concernées.
Modifié le 5
octobre 2003
Thierry
Saladin, directeur de l'association, vient d'effectuer une
tournée en Lorraine et en Alsace. En effet, à la
demande du groupe Espéranto-Nancy-54, il vient de faire le
30 septembre 2003 une conférence à Nancy devant
32 personnes sur le thème: L'Union Européenne et
les langues: mythes et réalités.
En outre, à la demande du centre culturel
d'espéranto de Strasbourg, la même
conférence a été faite le 3 octobre
2003. (onze personnes y ont assisté).
Dans les deux cas, la réaction du public a
été très positive. Pour plus de
précisions sur le contenu de la conférence
veuillez cliquer sur le lien
conférences
Thierry Saladin a de plus organisé deux sessions d'examens
(premier et deuxième degrés) et dirigé
un stage de perfectionnement pour le groupe de Nancy. Il a fait une
présentation de l'espéranto devant les
élèves d'un centre pour jeunes
handicapés physiques. Des jeunes souffrant de
problèmes psychiques, et scolarisés dans un autre
centre ont assisté également à cette
présentation. L'établissement où cette
conférence s'est tenue est un centre pour jeunes
handicapés de type ÉREA. Il se trouve
près de Nancy, à Flavigny (54).
Par
ailleurs, Mademoiselle Claudie Demongeot, lors de la soutenance de son
mémoire, a obtenu pour celui-ci la note de 16/20 avec les
félicitations du jury. Ce mémoire est accessible
sur Internet.
<http://claudisite.multimania.com>
Modifié le 23
septembre 2003
L'association
Réinsertion et Espéranto est très
fière de vous annoncer qu'elle vient d'obtenir un
témoignage de félicitation et de reconnaissance
en la personne de Claudie Demongeot. Cette éducatrice
spécialisée travaillant au centre
psychothérapique de Nancy vient en effet, de
réaliser un travail, cinq années durant( de 1998
à 2003), sur l'enseignement de l'espéranto
auprès d'adolescents souffrant de problèmes
psychiques. C'est dans la cadre du soutien scolaire, la mission
officielle qu'elle assumait auprès de ces jeunes en
difficulté psychique que l'espéranto a
été utilisé.
Le
lundi 29 septembre 2003 à 14 heures, elle
présentera devant un jury le mémoire qu'elle a
rédigé à cet effet. Ayant
trouvé sur le site de notre association non seulement
matière utile pour la rédaction de son
mémoire mais ayant également bien compris les
similitudes des deux projets, elle a demandé à
Thierry Saladin, porteur du projet depuis ses origines de faire partie
de son jury.
Un
site Internet a été créé
afin que le public ait accès à ses travaux. Vous
pouvez cliquer sur le lien "mémoire
ou noter les coordonnées du site en fin de message.
Par
ailleurs, Thierry Saladin au cours de son déplacement dans
l'est de la France fera deux conférences à Nancy
et à Strasbourg pour le grand public. Pour plus de
détails voir en pages conférences ou cliquer tout
de suite sur le lien
conférences
Un
stage d'espéranto a été
organisé par quelques espérantistes de Nancy. Il
sera dirigé par Thierry Saladin et portera sur les
règles de grammaire de l'espéranto et sur la
conversation.
Il
aura lieu le samedi 28 septembre 2003. Pour tous renseignements,
contacter <claudy.esperanto@wanadoo.fr>.
Enfin,
veuillez noter que les coordonnées de Réinsertion
et Espéranto viennent de changer:
Le siège social reste inchangé mais l'adresse
postale sera désormais: Résidence Sainte
Thérèse, appt 70
968, avenue du Père Soulas 34090 MONTPELLIER.
Nouveau numéro de téléphone:
04.67.91.01.96
Le numéro de télécopie, l''adresse
électronique et le site Internet ne changent pas.
<http://claudisite.multimania.com>
Modifié le 1O
septembre 2003
Karaj gesamideanoj,
Vous
avez en main la septième circulaire annuelle de
l’association Réinsertion et Espéranto.
Nous venons vous rendre compte de notre action. Vous êtes
vraisemblablement soit membre de la structure, soit donateur, soit les
deux. Il se peut même que l'intérêt que
vous portez à notre action, vous ait conduit à
attendre un peu avant de vous décider à nous
aider.
Sachez que ce projet est basé sur un tripode : Une idée, une volonté
et des moyens.
L’idée, c’était de
créer des emplois avec des jeunes formés
à la langue espéranto et rendus
compétents pour qu’ils aillent ensuite, dans le
cadre d’une vraie réinsertion sociale, dans les
écoles informer les élèves sur cette
langue. Ce projet est né en effet d’une
volonté farouche de contribuer à faire entrer
dans les esprits que l’espéranto existe et
qu’il a une valeur et un intérêt dans
notre monde moderne.
Notre action se décline de trois façons.
Comme pour tous les jeunes, qu’ils soient
scolarisés ou non, mais âgés de moins
de trente ans, l’expérience montre en
Languedoc-Roussillon que 70% d’entre eux sont incapables de
répondre à la question
élémentaire : «
Qu’est ce que l’espéranto ? »
notre action consiste à les informer qu’il existe
une autre langue internationale que celle qu’ils s'imaginent.
Notre expérience est assez positive auprès des
jeunes de 13/14 ans. Le problème, c’est que pour
les atteindre, à l’école en
particulier, nous devons franchir les obstacles dressés par
les adultes qui les encadrent.
Côté
résultats,
nous avons signé cette année des conventions afin
d’assurer des cours dans quatre établissements
scolaires. Un record ! Ce sont en effet et comme l’an dernier
le Lycée professionnel Robert Schuman d’Avignon,
le Collège Les Oliviers de Nîmes, mais
également le Collège Marcel Pagnol de Montpellier
et le Collège Jean Brunet d’Avignon. Faut-il vous
rappeler que pour arriver à un tel résultat il
nous a fallu six ans de travail ? Six années pour
n’obtenir finalement la possibilité
d’enseigner l’espéranto que dans quatre
petits établissements scolaires!
Ce
résultat, le fruit de notre travail, nous osons le qualifier
de ridicule. Non pas que nous soyons dans une logique
négative ou rétrograde, pas du tout, mais tout
simplement parce que le prix à payer tant en ce qui concerne
les deux acteurs de ce travail, Zohra depuis deux années et
demie et Thierry depuis six ans, se paie très cher. Il se
paie en frustrations, en désillusions et finalement en
santé.
Nous tentons en fin de compte de vendre un
produit qui n’a pas d’acheteurs. Il n’y a
pas de marché pour l’espéranto
aujourd’hui. Ceux qui oseraient prétendre le
contraire (existent-ils ?) sont ou bien des idéalistes
enfermés dans leur bulle ou bien ils n’ont jamais
fait ce que nous faisons. Ils n’ont donc pas notre
expérience. C’est du reste fort dommage que notre
action ne soit pas reproduite dans toute la
France…S’il n’y a pas encore de place
pour l’espéranto aujourd’hui, ce
n’est pas en se lamentant que les choses changeront. Seule
l’action sur le terrain compte, et nous, nous y sommes sur le
terrain, huit heures par jour !
En
ce qui concerne le reste de la population, l’affaire est autrement plus difficile.
En effet, notre action d’information se voit
contrecarrée par des adolescents ou des adultes qui ne
savent rien de plus que les enfants sur
l’espéranto, mais cette frange de la population a
un avis sur la question. Un avis tranché, qui
résiste et se défend. Un avis qui très
vite peut entraîner des réactions
d’ennui voire d’indifférence quand ce
n’est pas de l'hostilité. Relisez donc Claude
Piron dans Le défi des langues.
Notre
expérience, soyez rassurés, va continuer.
Évidemment. Qui parmi vous pourrait encore en douter ?
Forts de celle-ci, nous avons conçu une nouvelle action. « Puisque tout le monde
ou presque se contrefiche de l’espéranto, puisque
les jeunes ne savent pas ce qu’est
l’espéranto, puisque aucun média de
masse ne fait ce travail d’information, puisque
l’Éducation Nationale se
désintéresse de cet aspect éducatif,
puisque les politiques ne font que du blablabla, nous allons informer
nous-mêmes le grand public, mais par la voie d’un
slogan que RE vient de lancer sur le marché »:
"L’Europe
a une monnaie unique, l’euro
Il lui faut une langue commune, l’espéranto"
Ce slogan, imprimé sur un autocollant en trois couleurs, est
destiné à être collé sur les
véhicules. Que tous ceux qui, en opposition avec la
propagande actuelle organisée par nos dirigeants et "leurs
sbire"s les médias, ont compris
l’intérêt d’une langue neutre
en Europe collent cet adhésif à
l’arrière de leur auto.
L’idée consiste à faire passer le
message en profitant du temps perdu par les automobilistes dans les
embouteillages.
Cet autocollant est à votre disposition depuis six mois.
Fort heureusement les espérantistes français ont
très bien réagi et l’ont
acheté massivement pour le coller et pour le vendre
à leur tour. L’adhésif ayant
également été bien accueilli en
Belgique, nous venons de le faire traduire en sept langues :( allemand,
anglais, catalan, espagnol, finnois, italien et néerlandais,
c’est-à-dire les langues de la zone euro ).
R.E a fait un travail considérable et investi 11000 euros
dans cette affaire. D’ores et déjà le
retour sur investissement est de 5O% après six mois. Cela
veut dire que les espérantistes francophones ont
parfaitement compris ce que nous essayons de faire. C’est
très bien. A un an des élections
européennes, mais aussi parce que nous ne devons en aucun
cas accepter que l’Europe ne puisse pas parler
d’une même voix et qu’elle se fasse
dominer par une puissance maintenant clairement
hégémonique, R.E participe avec ses moyens
à l’information du grand public.
Nos moyens, c’est notre travail, c’est
l’argent gagné avec nos cours dispensés
dans les lycées et collèges, mais c’est
aussi votre aide. Savez vous que R.E a dépensé
depuis sa création presque 150000 euros (un million de
francs) ? Vous rendez vous compte que ce projet, né
d’une feuille blanche en 1997 et auquel vous avez
immédiatement apporté votre confiance est un des
grands projets que le mouvement espérantiste
français aura su organiser ?
Nous avons
besoin de vous, de vos dons. Vous avez
maintenant une idée précise de notre action. RE a
créé deux emplois, en CDI. Ces deux personnes
passent leurs journées de travail à faire passer
le message. Si comme nous,
vous pensez qu’il faut vraiment que les choses avancent, si
vous voulez que l’espéranto sorte de son anonymat,
si vous voulez contribuer à ce que l’Europe qui se
construit puisse vraiment devenir l’Europe des citoyens,
alors aidez-nous. Adressez-nous vos dons. Nous en avons besoin. Il ne
sert à rien d’attendre que les
décisions politiques viennent un jour. Elles viendront un
jour, oui, mais seulement quand la population sera bien
informée et qu’elle réclamera par la
presse, par des groupes de pression que
l’espéranto rentre dans les écoles.
Nous en sommes loin, très loin. Personne d’autre
que les espérantistes ne fera cela. R.E, pour sa part y
contribue fortement avec d’autres en France, mais qui ont
choisi d’autres voies.
Nur kune ni sukcesos. ce n'est que tous ensemble que nous
réussirons.
Comme chaque année notre Assemblée
générale se tiendra dans les locaux de
l’Association Passerelles, 26 rue Enclos-Fermaud
(à 300 mètres de la gare SNCF) le samedi 8
novembre 2003 à 14h30 précises. Vous y
êtes cordialement invités.
À Montpellier, le 2 septembre 2003,
La Présidente Le Trésorier Le
Secrétaire Le Directeur
Josette Guardia Patrice Brandy Jean Michel Parisot-Delourmel Thierry
Saladin
Modifié le 1O
août 2003
Un
mémoire sur la réinsertion des adolescents par
l'espéranto en milieu pédopsychiatrique
"
L'EUROPE A UNE MONNAIE UNIQUE, L'€URO
IL LUI FAUT UNE LANGUE COMMUNE, L'€SPÉRANTO "
Claudie
Demongeot, une éducatrice en milieu psychiatrique
à Nancy travaille sur un mémoire depuis plusieurs
mois sur l'intérêt pédagogique de
l'espéranto auprès des adolescents. Elle nous a
tout naturellement contactés. Son travail avance bien et
elle présentera son mémoire devant un jury le 24
septembre 2003. À la demande de
l'intéressée, Thierry Saladin, directeur de
Réinsertion et Espéranto, fera partie du jury.
Nous
comptons insérer son travail dans ce site-internet afin de
lui assurer une diffusion plus large.
Un site-Internet est
spécialement en
cours d'élaboration pour y insérer le
mémoire de Claudie Demongeot.
<http://claudisite.multimania.com>
Modifié le 11
novembre 2002
RÉINSERTION
ET ESPÉRANTO lance le slogan :
"
L'EUROPE A UNE MONNAIE UNIQUE, L'€URO
IL LUI FAUT UNE LANGUE COMMUNE, L'€SPÉRANTO "
C'est
un tout nouveau projet qui a pour but de sensibiliser l'opinion
publique de l'intérêt d'une langue commune en
Europe.
Le principe consiste à faire passer le message dans
l'opinion en exploitant "le temps perdu par les automobilistes" dans
les embouteillages.
Ce message simple, lisible
de quelques
mètres, associant €uro et
€spéranto sera
collé à l'arrière d'un
véhicule ou sur les portières pour être
lu et compris par l'automobiliste au volant du véhicule
suivant ou à côté.
Un modèle à lecture miroir pourra être
placé sur le capot avant afin de permettre " une lecture
déchiffrée " par les piétons sur les
parkings et les trottoirs notamment.(N.B. les deux mots €uro
et €spéranto sont associés par une
même couleur et une même police,
elles-mêmes différentes du reste du texte).
Le texte est en trois couleurs
et entouré du drapeau européen. Le support est de
qualité et est garanti trois ans.
Nous
comptons diffuser ce slogan non seulement dans toute la France, en
Belgique et au Luxembourg qui ont déjà
l'€uro, mais également en Suisse.
Un site-Internet est
spécialement
créé pour le projet:
<http://europesperanto.free.fr>
La répétition de ce message aura
inévitablement un impact.
Divers
autocollants seront proposés :
Un modèle
transparent à
coller sur la vitre arrière, de l'intérieur :
Dimension
: 700 x 85 mm. Prix 7,5 € l'unité.
Un modèle sur
fond blanc à
coller à l'arrière du véhicule et / ou
sur les portières.
Dimension
:450 x 90 mm. Prix : 6 € l'unité.
Un modèle sur
fond blanc à
coller sur le capot avant du véhicule (lecture miroir).
Dimension
: 425 x 297 mm. Prix 7 € l'unité.
Le jeu de sept autocollants ( 1vitre AR + 5 coffre/portières
+ 1 capot) : prix 30 €.(offre exclusivement
réservé aux membres de l'association)
NOUVEAU:
Pour les maniaques des belles carrosseries à la
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NOUS
CONTACTER
Modifié
le 4
octobre 2002
A
son tour Zohra
vient de réussir la deuxième partie de la
Capacité en espéranto.
Cette nouvelle est une preuve de plus à apporter aux
crédit de l'espéranto puisque Zohra avait
commencé l'apprentissage de la langue en novembre 1999, puis
passé et réussi premier et deuxième
degrés avant l'été 2000 et le tronc
commun de la Capacité en avril 2001. Comme son travail
sérieux méritait d'être reconnu, elle
fut même embauchée en CDI avant de passer la
première partie de la Capacité,
c'est-à-dire en février 2001. Elle parvint donc,
tout en exerçant dans le cadre de son activité de
travail, à hisser son niveau jusqu'à l'obtention
du fameux diplôme avec seize sur vingt de moyenne, s'il vous
plaît. Avec Thierry, Réinsertion et
Espéranto compte désormais deux enseignants
diplômés de la Kapableco, option
pédagogie.
Modifié le 8
septembre 2002
Notre
activité reprend, avec des actions tant en milieu scolaire
qu'auprès des médiathèques, et cette
année, une action sera orientée vers le monde de
l'entreprise. De plus, l'association assure depuis quelques semaines le
service commercial de la revue Espéranto-info, revue
bimestrielle qui informe en langue française le grand public
sur les problèmes de communication dans notre monde actuel,
sur les langues et sur l'espéranto.
Nous organiserons notre deuxième Grand stage annuel de la
Toussaint avec André Cherpillod, de l'Académie
d'espéranto, du mardi 29 octobre au dimanche 3 novembre 2002.
Ce
stage portera sur la traduction et accessoirement sur la grammaire
espéranto.
Renseignements
et inscriptions par courrier postal ou sur le Site-Internet en cliquant
ici sur le lien:
Bien
entendu, nous avons différentes formules de cours pour tout
public, et nous vous invitons à consulter la page "actions"
dans le sommaire.
Modifié le 1er
septembre 2002
Lettre-circulaire
annuelle n°6
Karaj
gesamideanoj,
Le projet qui, vous le savez, s'est donné pour ambition de
réinsérer les laissés-pour-compte avec
l'espéranto, prend du retard. Ceci s'explique par le fait
qu'il rencontre depuis ses débuts en septembre 1997, des
résistances de toutes natures. Pourtant nous ne souhaitons
que venir en aide à ceux qu'elle rejette, mais
également promouvoir des valeurs de paix et de
tolérance, d'égalité linguistique
comme en son temps Zamenhof - ce grand homme que l'humanité
reconnaîtra un jour comme un visionnaire et un
génie - imaginait un monde où les hommes
sauraient faire fi des particularismes que savent si bien entretenir
les nations afin de mieux diviser les peuples.
Le temps de Zamenhof est révolu, le nôtre est
celui de la construction européenne, de la mondialisation,
mais également celui de l'après onze septembre
2001. Il est aussi le temps des grands défis pour
l'humanité obligée de s'attaquer aux
problèmes qu'elle a négligés
jusqu'à présent, et qui sont désormais
des urgences (partage des richesses, protection des grands
équilibres, lutte contre la pollution…), il est
enfin le temps où les attaques en règle contre la
langue française se multiplient, que ce soit à
l'intérieur de l'hexagone par beaucoup trop de
Français eux-mêmes, ou en dehors, comme la
Commission européenne vient de le montrer cet
été, en sommant la France d'étiqueter
en deux langues les produits vendus sur son marché, et la
seconde langue, vous savez fort bien que ce ne sera pas le
portugais…
Ce projet est donc ambitieux et difficile, nous le savions
dès le début, mais il correspondait à
une réflexion globale portant sur les grands sujets qui
viennent d'être rappelés. Comme il
n'était pas un caprice, une lubie, un coup de
tête, il va donc se poursuivre, mais qu'il est difficile de
nos jours, d'être porteur d'un projet sur
l'espéranto …
Il va se poursuivre pour quatre raisons :
La première vient d'être
énoncée.
La seconde réside dans le fait qu'il a remporté
un grand succès en la rencontre avec Zohra,
salariée de l'association, qui travaille consciencieusement
et avec des résultats. Nous y reviendrons.
La troisième, c'est que nous avons dans les cartons d'autres
projets qui dorment en attendant précisément que
l'équipe de l'association soit au grand complet. Et le temps
passe…
Car tous les jeunes ne sont pas comme Zohra. Certes, nous en avons
rencontré des centaines à la recherche d'un
emploi lors d'entretiens d'embauche. Parmi eux, 16 seulement
s'étant déclarés
intéressés par le projet, nous les avons
formés durant cinq promotions annuelles (NB : Zohra
appartient à la promotion numéro trois). Si la
formation que nous leur donnons est gratuite, elle n'est pas
rémunérée. Et si elle devait
être rémunérée, ce devrait
être aux instances officielles à le faire, mais de
ce côté-là, il n'y a rien eu
à faire jusqu'à présent pour obtenir
quoi que ce soit. Ce que nous faisons n'intéresse pas du
tout les responsables de la région Languedoc-Roussillon.
Certains jeunes ont atteint le deuxième degré et
l'ont validé, l'un d'entre eux est même
allé jusqu'au niveau de la kapableco. Mais se rendant compte
de la difficulté de parler de l'espéranto de nos
jours et constatant que ce projet reste confidentiel en France si on
excepte la Bretagne et la région parisienne, ils se
découragent plus ou moins vite ou renoncent, à
l'image d'Anne-Claire que nous avons embauchée en CDI, le 21
janvier dernier après plus de cinq cents heures de cours
données gratuitement, le passage du tronc commun de
kapableco à Bouresse (NB : Un grand merci à
Kvinpetalo qui organisa, à notre demande, une session
spéciale en décembre 2001), et qui
démissionna le 1er mars pour des raisons qui restent
équivoques. Anne-Claire est convaincue par
l'espéranto, compétente pour en parler et le
parler, et nul doute qu'elle le fera au cours de ses rencontres sans
oublier tout ce que Réinsertion et Espéranto lui
aura donné. C'est déjà en soi un bon
résultat, mais sa formation durant un an a
coûté très cher (en énergie
et en argent) à l'association.
La quatrième raison, c'est vous, les
espérantistes qui chaque année êtes
plus nombreux à nous soutenir financièrement,
vous qui avez compris que c'est bien par la voie de la jeunesse allant
chaque jour sur le terrain, c'est-à-dire dans les
écoles, que nous parviendrons à faire progresser
l'idée d'une langue commune. Vous, à qui nous
venons rendre compte de notre action.
Cette action qui depuis cinq années scolaires a
donné les résultats suivants :
Une convention a été signée en octobre
2001 avec le lycée professionnel Robert Schuman d'Avignon
prévoyant une heure de cours hebdomadaire dans l'emploi du
temps officiel d'une classe de troisième technologique
durant quatorze semaines. Fin février 2002, au vu des
résultats obtenus par les élèves sous
la direction de Zohra, le lycée décidait de
prolonger par un avenant ladite convention jusqu'à la fin de
l'année scolaire. Cette convention devrait être
reconduite à la rentrée, nous avons l'accord du
proviseur.
A Nîmes, et pour la deuxième année
consécutive, Zohra a dirigé un cours dans le
cadre du foyer socio-éducatif du collège Les
Oliviers, à raison d'une heure par semaine. Ici aussi, nous
avons tout lieu de croire que cette convention sera reconduite en
septembre.
Bien évidemment, ces prestations ont
été rémunérées
par les établissements concernés qui ont su
trouver les modes de financement.
Grâce à ces résultats, la
trésorerie s'est améliorée, mais nous
avons toujours besoin de vous, même si nous avons bon espoir
de signer avec un ou deux autres établissements à
la rentrée prochaine. Nous verrons bien.
Nous organisons également des cours pour tous publics et
faisons toutes sortes de démarches pour mettre en place des
expositions, des conférences dans les écoles ou
les médiathèques.
Tout cela pour en arriver à la conclusion que ce projet
fonctionne et même qu'il marche très bien,
grâce évidemment au courage de Zohra, qui depuis
son embauche le 1er février 2001, est venue
épauler sur le terrain le président, votre
serviteur. Ce projet n'a qu'un inconvénient, il n'a pas
été copié à
l'échelle nationale et c'est fort dommage, car l'occasion
historique des Emplois-Jeunes est maintenant terminée.
Espérons néanmoins que le mouvement saura saisir
la prochaine occasion qui ne manquera pas de survenir lors de la
prochaine alternance, voire avant.
Comme l'an dernier, nous organiserons du mardi 29 octobre au dimanche 3
novembre 2002, un grand stage portant sur la traduction et la
grammaire, avec André Cherpillod, membre de
l'Académie d'espéranto. Pour tous renseignements
et pour s'inscrire, veuillez nous écrire ou consulter notre
Site-Internet.
Notre Assemblée Générale aura lieu le
samedi 9 novembre 2002 à 14h30, au siège de
l'association. En tant que donateur et /ou comme membre vous
êtes invité à y participer.
Cette lettre est donc un appel, un appel à ceux qui veulent
vivre debout et ne pas accepter ce qu'on nous impose, un appel
à tous ceux qui se sentent des citoyens responsables,
majeurs, engagés et qui refusent de s'abstenir parce qu'ils
ont compris que tous ensemble nous détenons la
clé de l'avenir de nos enfants alors que notre monde
convulse de plus en plus.
D'autres associations espérantistes font des appels
similaires pour que nous nous mobilisions, elles ont choisi d'autres
méthodes pour aboutir en fin de compte à la
même chose: replacer l'homme et la vie au centre de tout
projet politique. Il faut nous soutenir financièrement et si
possible adhérer à la structure car ce n'est
qu'ensemble que nous réussirons. (NB: même un don
de 8 €uros nous aiderait, et la cotisation est de 16
€uros). Nur kune ni sukcesos !
À Montpellier, le 1er septembre 2002
Modifié le 3 juin
2002
A
son tour Judicaël
vient de nous faire savoir qu'il arrétait.
Chez ce jeune homme sérieux pour qui l'espéranto
représente un idéal, les motifs sont
hélas, trois fois hélas toujours les
mêmes, d'ordre économique.
Bien que demandeur d'emploi indemnisé, il ne pouvait pas
faire perdurer une situation qu'il jugeait trop délicate et
nous a annoncé le lundi 13 mai 2002 sa décision
d'arréter l'espéranto pour trouver du travail. Il avait
à cette date reçu plus de 70 heures de cours
d'espéranto. Avec lui, c'est le
15ème stagiaire qui nous abandonne, si bien sûr on
met à part Zohra, qui continue courageusement à
travailler et à obtenir des résultats.
Preuve est donc faite que ce travail intéresse les jeunes
puisqu'ils sont toujours aussi nombreux à nous le dire lors
des entretiens d'embauche, mais
le bât blesse en ce qui concerne la
vie de tous les jours pendant la
formation qui, et nous le
répétons, est gratuite pour le
stagiaire , mais
n'est pas rémunérée et n'a jusqu'à présent jamais pu être agréée
par les structures officielles comme l'A.N.P.E.
Cette
formation a en revanche un coût pour la structure qui
s'élève à 9150 €uros soit 60
000 francs.
C'était la cinquième promotion annuelle avec 25
candidats reçus en entretien d'embauche et un seul
s'étant déclaré
intéressé par la formation, compte tenu des
conditions rappelées plus haut.
Nous allons laisser passer l'été et nous
aviserons alors de la conduite à tenir.
Modifié le 19
avril 2002
Depuis
le 15 avril 2002, voici
Judicaël qui nous a rejoints comme stagiaire pour
se former à l'espéranto et se professionnaliser
en vue d'être embauché le premier octobre
prochain. Cette date d'embauche semi-retardée s'explique par
le fait que nous devrons auparavant lui enseigner la langue,
l'accompagner sur le terrain pour le rendre compétent, afin
qu'il puisse rencontrer à son tour des chefs
d'établissements scolaires et leur proposer d'une
manière sérieuse et adaptée des
présentations de l'espéranto aux
élèves.
A
raison de quatre jours de cours par semaine, il apprend la langue
en compagnie de Jeannine, Zohra et Thierry. Le
cinquième jour est consacré à l'action
sur le terrain. Si
tout se passe comme prévu, il passera son premier
degré en mai, son deuxième en juillet 2002, et sa
formation à Kapableco commencera dès le mois
d'août 2002, toujours selon le même rythme, pour aboutir
à son embauche en C.D.D le 1er octobre 2002.
A cette date, il ne sera toujours pas au niveau de cet examen, mais il
sera capable de prospecter dans les écoles, tout en
continuant à se former selon un rythme de un ou deux jours
par semaine.Nous
pouvons espérer lui faire atteindre le niveau du tronc
commun de la kapableco en février ou mars 2003. Son contrat de travail deviendra alors un C.D.I
Modifié le 26 mars 2002
Depuis
le 1er mars 2002 et à la suite de la démission
d'Anne-Claire, le poste emploi-jeune est de nouveau disponible. En
conséquence,
l'association Réinsertion et Espéranto lance un
appel à candidatures. Si vous avez
moins de 26 ans, le sens du contact, une bonne connaissance de
l'espéranto (au moins le niveau deuxième
degré) et si vous avez des prédispositions pour
faire de la prospection et de l'enseignement en particulier dans les
écoles, alors contactez nous. Prière d'adresser
une lettre de motivation avec un curriculum vitae.
Par
ailleurs nous continuons à obtenir de
bons résultats
dans les écoles.
Modifié le 16
février 2002
À
quand une
euro-langue?
Modifié le 21
janvier 2002
Depuis
le 21 janvier 2002,
Anne-Claire Ripoche est la deuxième salariée de
l'association. Son contrat est
également à durée
indéterminée et dans le cadre d'un Emploi-Jeune.
L'équipe est donc constituée et vient de se
mettre au travail. Cliquer sur le lien pour connaître le
projet ou lire plus bas la
lettre-circulaire datée du 1er septembre.
Modifié le 1er
septembre 2001
|
Madame,
monsieur,
Voilà maintenant quatre ans que nous vous parlons de ce
projet qui, vous le savez, consiste à créer un centre associatif
professionnel afin d'assurer à des chômeurs une
réinsertion sociale. Ceux-ci sont
formés gratuitement à l'Espéranto,
rendus compétents pour en parler et l'enseigner, puis
embauchés par la structure. Comme le contrat de travail qui
leur est proposé est un C.D.I. (Contrat de travail
à durée indéterminée), le
mot " réinsertion " prend donc toute sa signification.
En
effet nous souhaitons faire de la réinsertion, de la vraie,
celle qui consiste à créer de
véritables emplois, les seuls en fin de compte qui peuvent
intéresser des jeunes, motivés pour devenir
acteurs et responsables de leur vie.
Maintenant, Réinsertion et Espéranto n'est plus
un projet, c'est une réalité. En effet, Zohra,
une jeune femme de 22 ans, après une formation
préalable durant toute l'année 2000, a
été embauchée le 1er
février 2001. Comme nous avions finalement obtenu un
agrément Emploi-Jeunes pour deux postes, Zohra a donc
été embauchée en C.D.I. et avec une
aide de l'Etat pendant les 60 premiers mois.
Cet
agrément est donc, d'une certaine façon, la
reconnaissance politique d'un projet,
né en 1997, quatre mois avant l'annonce officielle de ce
programme Emploi-Jeunes par les pouvoirs publics.
Cette année, une nouvelle phase de recrutement nous a permis
de rencontrer Anne-Claire et Patrick, 25 ans tous les deux, qui
à leur tour apprennent l'Espéranto au sein de la
structure. Leur formation a débuté le 15
février 2001 et fin mai, leur examen du 2ème
degré était validé. Ils sont en route
vers la Kapableco (la capacité en Espéranto),
qu'ils passeront en décembre 2001. Leur embauche
interviendra aussitôt après. L'équipe
de Réinsertion et Espéranto est en voie
d'être constituée, c'est-à-dire une
équipe de professionnels désireux
d'être les ambassadeurs de la Langue Internationale
Espéranto ; l'aventure va donc commencer.
Qu'allons-nous
faire ?
Parler de l'espéranto 8 heures par jour au grand public, lui
qui est maintenu dans l'ignorance de cette
réalité et se complaît à
répéter les idées reçues
auxquelles nous devons tordre le cou. Informer ce public de
l'intérêt qu'il y a à
considérer comme nécessaire pour l'Europe le
choix d'une langue commune européenne et cela le plus vite
possible. Que cette langue ne peut pas, ne doit pas être une
langue nationale..., que l'Espéranto, qui est neutre et
vivant, garde toute sa valeur pour peu que les citoyens n'attendent pas
que les hommes politiques prennent une décision à
leur place, décision qu'ils n'ont jamais prise depuis 114
ans que l'Espéranto existe, et qu'ils ne prendront
probablement jamais avant que précisément les
citoyens, devenus d'authentiques citoyens du monde, ne fassent pression
par leur nombre mais aussi par leur détermination et dans le
respect des libertés fondamentales de la
Démocratie pour infléchir les
décisions politiques dans ce sens.
Ne nous berçons pas d'illusions : les adultes qui se sont
construits autour de l'idée que " l'Espéranto ne
vaut rien et que blablabla et blablabla.... ", ne changeront pas
d'avis. Seule une petite partie d'entre eux, 10 à 20%
peut-être, est soit curieuse, soit réceptive,
voire même prête à se mobiliser pour
cette idée. C'est donc vers eux que nous allons orienter
notre action.
Mais le plus important c'est les jeunes, donc les scolaires. Cette
tranche d'âge, malgré le système qui
les guette dès le berceau pour en faire une armée
de consommateurs, est à informer, alors que l'Europe va se
doter d'une monnaie unique et qu'ils sont déjà
bien conscients que cela ne résoudra pas tout.
Notre expérience durant ces quatre années, nous a
confortés dans l'idée qu'ils sont
intéressés par cette langue, pour peu qu'on leur
en parle et qu'on les fasse réfléchir
à la question. Or nous avons à ce jour
présenté l'Espéranto devant 5000
élèves depuis 1997.
Enfin, nous continuerons à sensibiliser le corps enseignant
sur l'intérêt propédeutique de
l'Espéranto. A l'heure où le ministre exige des
instituteurs qu'ils soient compétents également
pour enseigner les langues étrangères, il nous
paraît opportun de leur faire prendre conscience du profit
qu'ils pourraient tirer d'une utilisation de l'Espéranto au
niveau primaire, voire en grande section de maternelle.
Pour faire tout cela et bien d'autres choses, nous avons besoin de
vous, de votre soutien, c'est-à-dire d'un soutien financier.
En effet l'Espéranto et ceux qui se battent pour lui et les
valeurs qu'il véhicule, ont besoin du concours de tous ceux
qui se disent ses amis.
Comment
nous aider ?
En
devenant donateur :
En nous adressant un chèque, quel que soit son montant
(même 8 €uros), non seulement vous appartiendrez au
nombre des donateurs, mais de surcroît vous contribuerez
à faire avancer les choses qui
décidément n'avancent pas toutes seules. Vous
avez été nombreux à nous faire
confiance dès le début (en 1997), et le nombre
n'a cessé de croître, mais il est encore
insuffisant pour permettre à cette association de
fonctionner dans de bonnes conditions. Notre gestion est prudente et
sous le contrôle des membres adhérant à
la structure, mais nous ne disposons pas des moyens que nous estimons
nécessaires pour remplir notre mission, alors nous nous
limitons et c'est dommage car le temps passe.
En
outre, votre don vous permettra de bénéficier
d'une réduction d'impôt, et cette année (centième
anniversaire de la loi de 1901 oblige) le gouvernement a
porté le plafond de retenue de 1,75% à 10 % du
revenu imposable.
En
devenant membre :
Contre une cotisation de 16 €uros vous pouvez
également être membre de l'association et
participer ainsi activement aux votes lors de l'Assemblée
Générale annuelle qui aura lieu cette
année
le samedi 20 octobre 2001 à 14h30 à Montpellier,
26, rue Enclos-Fermaud, au siège de l'Association
(à 300 mètres de la gare S.N.C.F.).
Enfin,
nous organisons régulièrement des stages
d'Espéranto durant les week-ends, en gros une fois par mois,
mais dès à présent nous vous
annonçons l'organisation d'un grand stage de Grammaire
Espéranto qui aura lieu du 1er au 4 novembre 2001
à Montpellier sous la direction d'André
Cherpillod, membre de l'Académie d'Espéranto.
Pour tous renseignements et pour s'inscrire, vous pouvez consulter
notre Site Internet, nous téléphoner ou nous
contacter par télécopie ou par courriel ou tout
simplement par courrier..
Nur
kune ni sukcesos. C'est seulement tous ensemble que nous
réussirons.
À
Montpellier, le 1er septembre 2001.
M.Thierry
SALADIN
|
Mme
Josie ESTOPINA
|
M.
Patrice BRANDY
|
Président
|
Secrétaire
|
Trésorier
|
Modifié le 16
juin 2001
Zohra
vient de recevoir ses résultats concernant l'examen du tronc
commun de la Capacité qu'elle a passé
à Chambéry en avril dernier. Elle est
reçue. L'Association lui adresse toutes ses
félicitations pour ce succès
mérité après les efforts qu'elle a
fournis depuis fin 1999. La route qui mène au
diplôme de la capacité (Kapableco) lui est
désormais ouverte.
Modifié le 25 mai
2001
Nos
deux stagiaires, Anne-Claire et Patrick viennent
de réussir brillamment leur examen de deuxième
degré (Certificat d'Etudes pratiques) lors du stage
organisé à Vias par le centre culturel
Espéranto de Béziers. Avec d'autres stagiaires
ils ont suivi un cours animé par le président de
Réinsertion et Espéranto pendant une semaine. Ce
résultat a pu être obtenu grâce
à une forte motivation et il est vrai, grâce
à une formation dirigée de main de
maître depuis trois mois et demi par Zohra.
Ils ont donc rempli une partie de leur contrat. Il leur reste
néanmoins le plus gros, à savoir, le tronc commun
de la Capacité (Kapableco) qu'ils devront passer au plus
tard au mois de décembre 2001.Un gros travail les
attend,nous l'avons dit,mais au bout il y aura une embauche en contrat
à durée indéterminée.
Pour leur permettre d'atteindre dans de bonnes conditions un tel
niveau, Thierry remplacera progressivement Zohra, ce qui lui permettra
de se consacrer au travail sur le terrain, ce qu'elle ne faisait qu'un
seul jour par semaine jusqu'à présent.
Modifié le 18
février 2001
Depuis
le 15 février, deux nouveaux candidats à
l'embauche sont en formation. C'est Zohra qui leur enseigne la langue
à raison de trente heures de cours par semaine.
Ce rythme qui à première vue peut faire penser au
"parcours du combattant", s'explique par le fait que la convention
emploi-jeunes que nous avons signée avec la Direction du
Travail en date du 24 janvier 2001, nous donne un délai de
douze mois pour réaliser les deux embauches.
Zohra occupe donc le premier poste, mais en ce qui concerne le second,
c'est la course de vitesse pour amener les candidats jusqu'à
Kapableco au plus tard en janvier 2002. En outre, il n'est pas question
de laisser Zohra passer son temps à enseigner la langue
à des candidats dont la motivation serait, disons,
aléatoire. Tel n'est pas le cas de Patrick, 24 ans et
d'Anne-Claire, 25 ans, qui tous deux ont répondu
"présent", à l'issue de l'entretien d'embauche
qui eut lieu début janvier et qui patiemment ont attendu la
mi-février que la formation débute,
après il est vrai, des entretiens à
Nîmes, Béziers et Montpellier ayant permis de
rencontrer 107 jeunes.
Avec
ces deux nouveaux et si leur motivation ne s'émousse pas,
nous aurons donc deux candidats pour un poste. Aussi, il est d'ores et
déjà prévu de demander un poste
supplémentaire dans les prochaines semaines afin de ne pas
risquer de tromper l'un des deux candidats. Il faut ajouter que l'un et
l'autre savent depuis le premier jour que leur embauche ne sera
possible que dans le cas de la Loi Programme "Nouveaux Emplois-Nouveaux
services".
Nous
avons l'intention de les intégrer dans l'équipe
dès que possible afin de les former à cette
fonction commerciale que Zohra a déjà
exercée tout en mesurant la difficulté: parler de
l'espéranto n'est toujours pas facile et en particulier
devant certains.
Modifié le 17
février 2001
Les
15 et 16 février 2001, un stand d'espéranto s'est
tenu dans les jardins du Peyrou à Montpellier, lors du
procès en appel de José Bové et de ses
compagnons. Il fut tenu par des espérantistes de diverses
régions, par Réinsertion et Espéranto
bien sûr, et par des représentants de la
Fédération d'espéranto du
languedoc-Roussillon. L'ensemble des personnes présentes
à ce procès avaient toutes en commun une certaine
idée sur les conséquences de cette mondialisation
qui n'est somme toute qu'un système basé sur les
échanges de fric et de marchandises à la botte de
la grande finance internationale, alors que le mondialisme, lui,
mettrait l'homme au centre de tout projet. La banderole au texte un peu
provocateur et peut-être pertinent "La Langue Internationale
ESPERANTO, le remède à la mondialisation" fut non
seulement fixée au dessus du stand afin d'attirer les
réactions mais également promenée lors
de la manifestation du vendredi après midi dans toute la
ville. Elle n'est pas passée inaperçue.
Désormais
l'espéranto devra être présent dans la
vie de tous les jours.
|